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Cancer et huiles essentielles

CANCER ET HUILES ESSENTIELLES

 

                                                                

 

Le Docteur   Giraud   Anne Marie accompagne de nombreux patients atteints de cancer avec des traitements   d’huiles essentielles qui diminuent les effets secondaires des traitements chimiothérapie, radiothérapie, hormonothérapie   et voire potentialisent les traitements allopathiques. Elle a une approche très holistique de la maladie et accompagne avec beaucoup d’humanité les malades.

 

 

                                                                      

 

Elle a également écrit 3 livres que je vous recommande vivement. 

 

                           

 

                   

 

 

J’ajouterais aussi le livre de TY Bollinger, (toute la vérité sur le cancer) ou l’on trouve aussi un large chapitre sur l’emploi des huiles essentielles en cas de cancer.

 

                                                                                               

 

 

Si vous avez un peu de notion en test musculaire, kinésiologie… le mieux est de trouver chaque jour l’huile essentielle qu’il vous faut à ce moment.

Selon l’huile essentielle à avaler à l’aide d’un peu d’huile de nigelle, de cameline ou de colza bio expression à froid.

Personnellement j’ai directement fait le compte des nombres de gouttes dans de l’huile de nigelle, comme c’est un peu fort je prends en bouche une cuillère à café de mon huile de nigelle associée aux huiles essentielles, j’ajoute 5 pignons de cèdre et je mastique jusqu’à obtention d’un liquide laiteux, qui m’indique que je peux avaler, que l’assimilation va bien se passer.

 

Selon l’emplacement de la tumeur on peut masser sur la zone les HE, en masser quoiqu’il en soit tous les matins et tous les soirs sur le ventre en partant du centre et en faisant des tours de plus en plus élargies, pour toucher en plus des intestins qui se trouvent en dessous, foie, pancréas, rate, VB. Doucement et en tournant dans le sens des aiguilles d’une montre.

A cet effet peuvent être employés : HE Oliban, Ravintsara, Lédon du Groenland, Romarin, Cèdre, Patchouli, Basilic à linalol, Bois de Hô, Cajeput, Camomille romaine,   Carotte semences, Copahu, Cyprès, Élémi, Eucalyptus globulus ou radiata, Gaulthérie, Genièvre, Géranium, Gingembre (avec un peu d’huile ou huile de ricin dans ce cas, peut être irritant), Girofle (idem mélangée à un peu d’huile), Hélichrise immortelle (attention, fluidifiant sanguin, en cas de saignements de la tumeur éviter), Laurier, Lavande ou Lavandin, Lemongrass, Marjolaine, Menthe poivrée ou crépue (si vous êtes frileux éviter), Niaouli, Palmarosa, Petitgrain, Pin de Sibérie, Sauge, Tea-tree, Verveine litsea, Ylang ylang si vous ne souffrez pas hypotension.

Je pense que cette liste donne déjà beaucoup de choix.

Derrière le cancer il y a souvent parasitose. Si le cancer occupe les chair creuses (intestins) il est plus difficile de les atteindre. Les huiles essentielles vont aider.

Avec les lavements au café cela apporte un moyen de vérification, vu qu’en France il semble qu’il n’y a plus qu’un Laboratoire qui analyse les selles.

Si vous avez la possibilité de vous faire suivre par un sérieux énergéticien, n’hésitez pas !

Faites des demandes à votre guide intérieur. Sur le net you-tube il y a pleins de tuto :

synchronicités de Jean-Jacques Crèvecœur : https://www.youtube.com/results?search_query=jean+jacques+crevecoeur+synchronicit%C3%A9

 

Yvan Skybyk : https://www.youtube.com/results?search_query=ivan+skybyk+synchronicit%C3%A9s

 

Philippe Guillemant : https://www.youtube.com/results?search_query=Philippe+Guillemant+synchronicit%C3%A9s

 

 

 

Comment effectuer un Test musculaire, article de Michel Dogna novembre 2016:

Comment savoir si un remède est fait pour vous

Article paru dans le journal nº 40

 

Le test kinésiologique

Compléments alimentaires

Ce remède me conviendra-t-il ? Voilà la question que chacun se pose d’une façon récurrente, surtout quand on fait appel à des compléments alimentaires. Vous disposez en somme d’une énorme boîte à outils au travers d’informations qui déferlent de toutes parts, mais comment choisir le meilleur remède adapté à votre cas ? Voici trois tests simples issus de la kinésiologie ou de la posturologie. Ils vous permettront de savoir ce qui est bon pour vous.

 

Comment savoir si le produit que vous allez choisir (et payer) ne va pas vous nuire en place de vous aider ? La démarche intellectuelle n’est que statistique et chaque cas est particulier. Tout le monde sait que ce qui réussit à l’un peut démolir l’autre. Concernant la médecine officielle, elle est selon sa déontologie, « tenue des moyens et pas des résultats. » Mais les praticiens des médecines alternatives n’adhèrent pas à ce concept en somme un peu désinvolte vis-à-vis de leur clientèle.

 

Il faut dire que l’affaire est compliquée ; déjà au niveau de la source de la maladie qui n’est pas forcément d’ordre purement physico-chimique (pollutions externe ou intoxication interne) et qui en outre est le seul paramètre pris officiellement en considération - car il y a aussi les attaques invisibles avec les multiples agressions électromagnétiques dans lesquelles nous baignons, et aussi les blessures ou les chocs psychologiques non digérés et somatisés profondément que nous traînons des années comme des casseroles jusqu’à ce que ça casse. Et que dire des programmes d’auto destruction que nous sommes capables de construire avec application et persévérance par notre négativité ? Ne pas oublier aussi les programmes génétiques dont nous héritons, ce qui n’est pas forcément un hasard, et enfin certains destins préétablis de notre vie, notre mémoire totale bridée par la matrice terrestre nous privant ici-bas de son accès conscient. Voilà des aspects dont tout thérapeute aguerri devrait être conscient, et qu’il convient d’être capable de discriminer pour orienter et adapter ses interventions.

 

Il est clair que la seule démarche intellectuelle est insuffisante pour faire le point face à tant de possibilités sous cache. Mais cela concerne le cerveau gauche – reste le cerveau droit, le génie instantané libéré de la calculette, dont on nous a désappris à se servir, que seuls osent utiliser avec plus ou moins de bonheur les artistes, les inventeurs…et les pionniers de la médecine – car le monde du vivant est une énigme à explorer dont les limites reculent sans cesse. Il convient donc d’apprendre à converser avec les cellules et les organes, soit les nôtres, soit ceux des personnes que l’on entreprend d’aider. Pour cela il existe la réflexologie, la kinésiologie et par extension la posturologie.

 

Dialoguer avec un organe, c’est utiliser des zones réflexes

Il y a sur le corps différents sites réflexes facilement accessibles et largement exploités depuis des années par les praticiens de santé, tels :

 

Les pieds (réflexologie plantaire)

Les mains (réflexologie palmaire)

Les vertèbres (réflexologie vertébrale)

Les oreilles (auriculothérapie)

Les yeux (iridologie)

Mais ces disciplines font l’objet d’une qualification au travers de formations. Il convient donc de nous en tenir à des méthodes simples à la portée de tous.

 

Kinésiologie

En kinésiologie, il s’agit de faire appel à des réflexes musculaires qui se manifestent en tant que langage réponse binaire OUI-NON émis par l’intelligence du corps. L’exploration de ce domaine est fantastique et donne accès à des milliers de données inaccessibles intellectuellement, du moins pour ceux qui pratiquent correctement cette technique.

- Personnellement j’utilise depuis plus de 35 ans le BIOTEST issu du « touch for health » avec le petit doigt (qui me l’a dit – expression populaire) - c’est mon outil de tous les jours qui fonctionne à la seconde, sur place ou à distance – mais pour qu’il soit fiable, il faut que le gestuel soit très précis ; et finalement, peu de gens le maîtrisent correctement.

- Il y a le RAC (réflexe auriculo-cardiaque) adopté par certains médecins, mais encore plus délicat à pratiquer et à interpréter.

- Je passe sur les multiples techniques personnelles avec ou sans appareils sophistiqués plus ou moins ruineux, qui sont des choix respectables dans la mesure où ils sont efficaces et fidèles.

 

Posturologie

La posturologie est en quelque sorte un anti modèle de la kinésio, en ce sens qu’elle détecte des blocages musculaires spécifiques du corps, en réponse à des contraintes physiques ou des programmations mentales toxiques – la simple présentation verbale de la solution ou/et son imagerie mentale suffisent pour lever instantanément les blocages limitatifs constatés aux tests.

 

Mes trois tests à la portée de tous

Test kinésiologique classique du bras

 

- La personne testée tend un bras horizontalement poing fermé vers l’avant

- Le testeur appuie modérément sur le poignet vers le bas pendant que le testé résiste – afin d’évaluer sa force vitale de base.

- Le testeur recommence le mouvement mais en prononçant simplement le nom d’un des remèdes :

 

Si la résistance du bras du testé est identique au départ, le remède est nul

Si le bras du testé résiste plus, le remède est bon (il y a gain de vitalité)

Si le bras du testé résiste beaucoup plus, le remède est excellent

Si le bras du testé résiste moins, le remède est nocif (il y a perte de vitalité)

Recommencer l’expérience pour chaque remède de la panoplie à choisir afin de définir quel est le meilleur.

 

Test posturologique de la jambe gauche tendue (méthode n°1 du Dr Gérard Dieuzaide)

- La personne testée se place dos au mur.

 

- Elle lève la jambe gauche tendue le plus haut possible -  la hauteur est définie par la contre-tension résiduelle ordinaire des muscles postérieurs de la jambe

 

- Faire prononcer à la personne testée le nom d’un des remèdes et lui faire lever à nouveau la jambe au maximum :

 

Si la hauteur atteinte est la même, le remède est nul

Si la hauteur atteinte est plus haute, le remède est bon (il y a détente des muscles antagonistes postérieurs)

Si la hauteur atteinte est beaucoup plus haute, le remède est excellent

Si la hauteur atteinte est plus basse, le remède est nocif (il y a tétanisation des

Muscles antagonistes postérieurs).

Recommencer l’expérience pour chaque remède de la panoplie à choisir afin de définir quel est le meilleur.

 

Test posturologique des bras levés (méthode n° 2 du Dr Gérard Dieuzaide)

 

- La personne testée se place dos au mur.

- Elle lève doucement les bras tendus le long du mur jusquà atteindre le blocage  - la hauteur de ce blocage est définie par la tension résiduelle ordinaire des muscles antagonistes.

- Faire prononcer à la personne testée le nom d’un des remèdes et lui faire lever à nouveau les bras le long du mur au maximum :

 

Si la hauteur atteinte est la même, le remède est nul

Si la hauteur atteinte est plus haute, le remède est bon (il y a détente des muscles antagonistes postérieurs)

Si la hauteur atteinte est beaucoup plus haute, le remède est excellent

Si la hauteur atteinte est plus basse, le remède est nocif (il y a tétanisation des

Muscles antagonistes postérieurs).

Recommencer l’expérience pour chaque remède de la panoplie à choisir afin de définir quel est le meilleur.

 

Quatre remarques importantes

1 – Il est possible que la personne à tester soit incapable physiquement de pratiquer ou de participer à ces tests – Dans ce cas l’opération peut se pratiquer à côté à deux avec la convention mentale que c’est à l’usage du malade.

 

2 – La distance ne joue pas et les tests peuvent être effectués à des milliers de kilomètres à condition que la personne à traiter soit bien identifiée (avec ou sans photo).

 

3 – Ces tests peuvent être appliqués à des milliers de choses (médicaments, aliments, boissons, objets, bijoux, métaux et amalgames dentaires, habitat, emplacements, etc.

 

4 – L’usage limite des tests musculaires est qu’ils ne peuvent pas être effectués en grands nombres à la suite l’un de l’autre, la fatigue les rendant de plus en plus incertains.

 

A vous de jouer et de gagner votre indépendance

 

 

 

 


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