Conseils de l'Ostéopathe Wladislas Barath en vue de retrouver sa santé
Si vous tournez en rond, si vous avez l’impression qu’aucune thérapie ne fonctionne sur vous, prenez quelques instants et interrogez-vous. Il y a forcément une donnée essentielle qui manque ou qui a été omise. Mais quoi ? Une des clés se trouve dans la hiérarchisation des fonctions du corps. Eh oui, on ne fait pas ce qu’on veut avec le corps. Il y a des priorités à respecter. Bon nombre d’échecs viennent de l’ignorance de ce principe.
Mais avant d’aller plus loin, il y a cinq points que vous devez avoir à l'esprit:
- Premièrement que la guérison ne dépend pas QUE du thérapeute ou de la thérapie (sincèrement : si ça ne dépendait que de moi, alors tout le monde serait déjà guéri !). La guérison est à chercher à l’intérieur de soi. L’extérieur n’est qu’une aide pour réaliser les transformations à l’intérieur.
- Deuxièmement, que pour guérir, vous devrez à un moment ou à un autre abandonner l’idée même de guérir. Je sais, c’est tordu, et pourtant, c’est FON-DA-MEN-TAL (bien que j’en parle un peu en fin d’article, je vous l’expliquerai en détail dans un autre).
- Troisièmement, cherchez toujours la cause, car cause il y a toujours. Si quelqu’un vous traite sans savoir ce qui ne va pas derrière, fuyez. Car pour agir sur une chose, encore faut-il savoir comment elle fonctionne.
- Quatrièmement, toute guérison n’a jamais été autre chose qu’une autoguérison. Celle-ci dépend de la liberté de vos cellules à faire ce qu’elles savent le mieux faire : maintenir l’équilibre du milieu dans lequel elles vivent. Et ce milieu, c’est vous ! Sachez que les cellules, c’est pire que de la mauvaise herbe. Ça veut vivre à tout prix. Vous n’avez pas idée du pouvoir de guérison qui se cache en elles. C’est une force aussi puissante que la gravité, tournée vers la Vie.
- Enfin cinquièmement, la peur ne doit pas être votre guide. Avec la peur aux tripes, vous devenez influençables, vous êtes capables de faire n’importe quoi et n’êtes parfois plus aptes à faire les bons choix. (je reprendrai ce point ultérieurement car il dénonce un penchant malsain en médecine et dans les médias à utiliser la peur comme levier de changement et je ne partage absolument pas ce genre de manipulation).
Dernière chose : Ne me demandez pas par mail ou par commentaire ce que je pense de vos bobos personnels et ce que vous devriez faire pour guérir. Je n’en sais rien ! D’abord parce que même s’il semble exister des similitudes, chaque cas est unique et qu’il est impossible que je sache ce qui se trame dans votre corps à distance sans vous connaître. Ensuite, je n’ai aucune idée de votre parcours et de votre histoire. Et si vous imaginez qu’un mail fait office d’une consultation, vous vous trompez. Ce qu’il faut chercher, c’est justement ce que vous ne dites pas et tous ces signes non-verbaux qui transpirent votre problématique et amènent à la source. Impossible sans un échange en face à face. Et même là, c’est difficile… Trouvez-vous un thérapeute proche de chez vous. Il en existe plein et de très bons. Et si vous me demandez qui, JE N’EN SAIS RIEN. Je ne suis pas un secrétariat. Je suis juste un praticien qui partage ses recherches.
L’observation du corps humain et de ses réactions m’a montré que tout le pouvoir de guérison repose sur les cellules. Elles ont la capacité de réparer le corps d’une manière remarquable et bien au-delà de ce que nous imaginons. Mais pour qu’elles puissent le faire, il y a quatre conditions à respecter. Vous ne pouvez y accéder sans avoir rempli ces étapes.
1 – Respecter son quota de sommeil
À l’époque du communisme, dans les pays de l’Est, il existait des centres de torture pour les dissidents du régime. À Budapest, les pauvres gens devaient se tenir debout, voûtés, dans une chambre qui n’excédait les 1,20 mètre de hauteur. S’ils s’asseyaient ou s’assoupissaient, on venait alors les matraquer. Je crois qu’il n’y a rien de pire que la privation de sommeil. Les conséquences sont terribles.
Dans le cadre des soins, oubliez l’idée de traiter un corps fatigué. Il ne prendra pas. Une personne qui vient fatiguée en consultation, ça se sent. L’organisme peine à réagir. Et là, il y a problème, car toute technique – même mécaniste comme le sont l’ostéopathie et la chiropractie, et même la chirurgie – utilise un levier biologique. Autrement dit : les cellules. Un organisme à plat, ce sont des cellules qui ne réagissent plus. Le corps demande à dormir. Priorité absolue.
Parmi les signes de fatigue : l’hyperacidité gastrique. Mais gare aux généralisations : si la fatigue donne des reflux, tous les reflux ne sont pas des signes de fatigue. Ces remontées acides, souvent inaperçues, sont reconnaissables par d’autres symptômes. Une peau sèche, des cheveux secs et cassants, le nez encombré au réveil, les lèvres gercées, un enrouement facile, une fragilité O.R.L, des raideurs de nuque au lever et l’impression d’être dans le brouillard dès le saut du lit sont autant de signes qui trahissent un reflux nocturne.
L’acidité gastrique du soir est une demande de repos du corps parfois mal interprétée que nous confondons avec la faim. Nous grignotons, alors que nous devrions respecter ces signes et aller nous coucher. Manger léger le soir est une règle. Le sommeil est pour dormir, pas pour digérer. Proscrivez de ce fait produits laitiers, chocolat et alcool au dîner. Préférez les salades.
Le sommeil n’est ni du temps perdu ni de la paresse. Vous serez étonné de trouver dans le sommeil de prodigieuses ressources inconscientes que sont les rêves. Ces derniers vont dépendre de vos préoccupations diurnes. Vous récoltez ainsi la nuit ce que vous semez dans la journée. C’est pourquoi il est important de surveiller ses pensées et ce sur quoi porte votre attention. Cette remarque est importante et se retrouve naturellement dans le processus de guérison. Si vous axez votre esprit sur ce qui ne va pas, ce qui ne change pas, vous avez un aperçu de la destination. Les patients qui focalisent sur le problème entretiennent le problème. Vous devez regarder ce qui change pour obtenir un changement.
Attention, ne confondez pas sommeil et épuisement. Dans le premier cas, le corps doit se reposer, dans le second, l’organisme lutte contre quelque chose et s’épuise (une des origines du burn-out, d’ailleurs !). Cette distinction est importante car fatigue et épuisement n’ont pas la même solution.
2 – Cherchez contre quoi lutte votre organisme
Épuisé, cela veut dire que l’on a dangereusement puisé dans nos réserves. Il y a aura forcément une fatigue au bout car quand on est à plat, qu’on n’a plus d’énergie, inévitablement on s’arrête. La seule activité possible reste alors le repos. C’est pour cela que l’on confond très souvent fatigue et épuisement.
Il convient de déterminer ici ce qui pompe l’organisme : s’il s’épuise, c’est parce qu’il lutte contre quelque chose. Dans cette lutte, les cellules mobilisées sont actives et cela nécessite des ressources. Le problème, c’est quand l’agression s’éternise, lorsqu’elle devient PERMANENTE.
Les agressions les plus sournoises sont celles qui passent inaperçues et stagnent. Certaines sont extérieures comme la pollution (ondes électromagnétiques, air vicié, stress au boulot, alimentation industrielle, etc.), d’autres, intérieures. Ces dernières sont souvent des zones parasitaires renfermant toutes sortes de micro-organismes pathogènes (de la plus petite spore, aux vers ronds ou plats (ténias, douves), en passant par les champignons, bactéries, virus, etc.).
Ces zones sécrétant des toxines, je les nomme « Foyers Toxiniques Permanents », F.T.P.
Ici, c’est le mot permanent qui est important. On les retrouve le plus souvent au niveau dentaire, mais ils peuvent se loger n’importe où (sinus, poumons, amygdales, et n’importe quelle partie du système digestif comme le canal pancréatique, la vésicule biliaire ou l’intestin). L’organisme est alors engagé dans une lutte dont il n’arrive pas à bout, se traduisant par un cycle inflammatoire perpétuel, chronique, et souvent invisible.
Une de mes patientes, par exemple, avait été piquée par des guêpes en forêt à l’âge de 17 ans. Elle consulte dix ans plus tard pour de l’urticaire géant apparu voilà maintenant deux ans (soit 8 ans après l’incident). L’examen à révélé qu’il restait en fait un morceau microscopique d’un des dards dans la peau, totalement inaperçu.
Il n’est donc pas rare de retrouver un passé traumatique derrière ces foyers (chute, choc, opération, infection ayant laissé des séquelles tissulaires, vaccins, dentisterie, etc.). Avec de la pratique, on sait ce qu’on cherche. C’est pourquoi, un bon praticien est malheureusement souvent indispensable. Il n’existe pas de solutions personnelles qui permettent de s’en priver, à moins de soulager et de renforcer suffisamment les divers systèmes du corps, ce qui lui permettrait de s’occuper exclusivement de la zone problématique. Et même là, si le foyer est dentaire par exemple, impossible de se passer de mains expertes…
Ce qu’il faut, c’est lever l’agent qui agresse l’organisme. Car c’est à cause de lui (les cellules essayant vainement de l’éliminer) que le territoire autour s’épuise et devient propice à la prolifération de toutes sortes de germes.
En revanche, on peut facilement déceler ces zones. Ce sont souvent des endroits qui s’inflamment régulièrement. A force, les tissus se durcissent et il n’est pas rare de trouver un ou des ganglions enflés et douloureux à la palpation. Passez votre pouce sous la mandibule, par exemple, et glissez le long de l’os d’avant en arrière. A tous les coups vous découvrirez un ganglion douloureux en regard d’une couronne. Ceci montre que la dent sécrète des déchets. Il est plus que probable qu’il reste un bout microscopique de tissu nerveux malgré la dénervation.
Au niveau des sinus, la palpation est encore plus probante. Placez l’index et le majeur sur un côté du front. Posez les sur la peau de manière à la faire bouger par rapport à l’os. Bougez la peau latéralement plusieurs fois. Déplacez la zone d’appui. Si vous trouvez une zone douloureuse, le sinus est rempli. Vous pouvez comparer entre la droite et la gauche. Vous pouvez tester de la même manière au niveau maxillaire. Et si vous le faites sur quelqu’un d’autre, vous sentirez que la peau est adhérente et qu’elle bouge moins. Sur soi, on le sent plus difficilement.
On décèle également l’inflammation à l’aspect boudiné de la peau. Les jointures (articulations) oedématiées ou imbibées de liquide expriment une réparation. Si elle se perpétue indéfiniment, ce n’est pas normal. L’inflammation est chronique et pas forcément locale, mais souvent à distance, ailleurs dans le corps.
Le visage boudiné, lui, signe une réaction inflammatoire à un aliment. Les mains continuellement enflées, moites et chaudes, montrent quant à elles, une inflammation centrale touchant un organe interne. Les doigts peuvent donner un indice de l’organe lésé. Notez les différences de pression des doigts lorsqu’on vous serre la main. Le pouce parle des poumons, l’index du gros intestin, l’annulaire des organes sexuels et l’auriculaire du cœur.
La répartition des graisses et sa texture sont également de bons indices. Elles trahissent les glandes hormonales en cause et le système circulatoire impliqué (artères, veines ou lymphe).
Enfin, les contractions musculaires sont importantes à noter également. Elles montrent que le corps lutte contre quelque chose qui agresse et se protège. Les contractions des trapèzes révèlent un problème de bouche (dents ou mâchoire).
En cumulant ces signes, on arrive à trouver rapidement l’objet de l’inflammation. Mais ce n’est pas toujours évident quand il s’agit de l’alimentation ou de médicaments.
En somme, tous les symptômes sont des poteaux indicateurs qui vous emmènent vers la cause. Il ne faut donc pas chercher à les taire d’emblée, mais à les comprendre et à les mettre bout à bout pour en saisir l’histoire, la pathogenèse.
Si on enlève la source de l’agression, l’inflammation se résorbe rapidement et il ne reste plus que deux conditions pour emmener le corps dans un processus de réparation :
3 – Avoir un système digestif au repos
Un des processus de la digestion est de rejeter du bol alimentaire tout ce qui est toxique et inutile. Pour cela, le bain acide de l’estomac est comme un pédiluve qui le stérilise. Il y a d’autres systèmes, évidemment, et tout cela montre que la digestion n’est en aucun cas un processus passif, mais mobilise des ressources et peut épuiser les organismes déjà affaiblis (par une agression chronique par exemple). Le meilleur exemple en est le coup de pompe après le dîner. Cela montre bien que la digestion est un effort pour l’organisme.
C’est pourquoi toute guérison débute par une diète. Une mise au repos du système digestif. Pas nécessairement un jeûne, mais se tourner vers une alimentation qui mobilise le moins la digestion : bouillons, soupes, fruits, légumes vapeurs, tisanes, viandes de qualité sans sauce, et éviter les produits gras, le chocolat, tout ce qui est à base de lait, de farines blanches (pain, pâtes), le riz et tout ce qui forme une colle dans l’intestin. Pas éternellement, mais le temps de récupérer.
Tout cela, vous pouvez le vérifier. Si vous avez un rhume et le nez encombré, vous verrez que le nez se dégage si l’intestin est vide. Vous découvrirez quel aliment sollicite le plus la digestion car automatiquement, et dans les minutes qui suivent l’ingestion, le nez se rebouchera. La réaction, et particulièrement son aspect immédiat, est surprenante.
Personnellement, je n’essaie jamais de persuader les gens de se priver. Je préfère qu’ils découvrent par eux-mêmes les effets de certains aliments sur leur organisme. Exagérez par exemple la consommation de l’aliment que vous aimez le plus et observez les effets sur votre corps. Consommez des produits laitiers de manière excessive au dîner, par exemple, et observez-vous au réveil. Vous aurez tout de suite compris de quoi je parle. L’expérience vaut tous les discours. Et rappelez-vous : ce qui est vrai pour l’un ne l’est pas pour l’autre.
Dans tous les cas, tant que le corps digère, il ne peut passer à la fonction suivante : réparer. Et là, ce n’est pas aussi évident parce qu’il existe un piège.
4 – Laisser faire
La réparation n’arrive qu’en quatrième place. Ceci veut dire que pour guérir, il ne faut être ni fatigué, ni épuisé et ni en phase de digestion. Et cela donne un sens tout particulier aux jeûnes comme techniques de régénération, là où d’autres thérapeutiques échouent.
Mais il existe encore et pourtant une dernière condition : vous devez laisser les rênes à votre corps et ça, ce n’est pas du tout évident dans notre monde occidental à la fois surmédicalisé et surmentalisé.
Il faut savoir que la majorité des activités biologiques (la digestion, la respiration, l’immunité, la guérison, etc.) est inconsciente : la conscience n’y participe pas et n’a pas à le faire.
Quand on affirme n’utiliser que 10% des capacités de notre cerveau, c’est évidemment faux. Il n’existe pas de zones en friche en nous. En vérité, 99% de nos facultés sont simplement occupées par des processus inconscients. Et heureusement, car nous serions incapables de superviser ce travail titanesque.
Derrière ce besoin de tout maîtriser se cachent de nombreuses peurs irrationnelles basées sur des croyances farfelues. L’une d’elles est que l’on ne peut pas faire confiance à son organisme. Elle repose sur la conviction que le corps est bourré de défauts et qu’il tend inévitablement vers la déchéance. Dans l’absolu, c’est vrai, car on meurt tous un jour ou l’autre, mais dans les faits, c’est faux. Comment la personne aurait-elle pu arriver ici si son organisme avait été si défectueux qu’elle le prétend ? A-t-elle oublié toutes ces fois où son corps malade a guéri naturellement sans se poser de questions ?
Il s’avère que les gens interprètent souvent mal les réactions de leur organisme. Lorsque ma fille, petite, me demanda un jour après avoir vomi pourquoi la maladie, je lui répondis, « Ton corps est intelligent. Il se vidange. C’est une manière pour lui de guérir. En revanche, c’est à nous de comprendre les erreurs que nous faisons et de les corriger.» Dans notre monde occidental, il est difficile de voir la maladie ainsi. Désagréable, incompréhensible et ne pouvant la dominer, nous lui associons des peurs et la rejetons, et avec elle la guérison.
Regardez combien notre société lutte contre l’inflammation alors qu’elle n’est ni plus ni moins qu’un mécanisme de guérison. Quant à l’infection, elle est un processus de nettoyage naturel.
La maladie est quelque chose de naturel. Ce qui ne l’est pas en revanche, c’est lorsqu’elle s’éternise ou bien que ces processus partent dans des excès et dépassent les capacités de gestion de l’organisme !
Le corps, lorsqu’il est malade, demande une attention bienveillante. La dernière chose dont il a besoin, c’est d’un esprit totalitaire qui impose sa volonté coûte que coûte et qui ne respecte pas ses besoins.
Une constante que l’on retrouve aussi régulièrement dans la guérison est le phénomène d’oubli (vous trouverez un exemple dans mon histoire avec la verrue dans l’article sur l’huile de ricin). C’est quelque chose que l’on retrouve très souvent en thérapie : la guérison intervient lorsqu’on en vient à oublier l’existence même du problème. Un jour, vous vous demandez ce qu’est devenu ce vieux truc. Et là, au grand étonnement, plus rien !
Je pense que c’est lorsque l’attention n’est plus portée sur le problème que les cellules sont entièrement libres pour le régler. Regardez ces femmes infertiles qui tombent naturellement enceinte après avoir adopté un enfant. À trop vouloir une grossesse, elles empêchent sa réalisation (la tendance à tout vouloir gérer est une injure en biologie. C’est penser faire mieux que la nature elle-même). Aux femmes qui consultent pour infertilité inexpliquée, c’est la première chose que j’enseigne : porter son attention sur autre chose. Je donne des petits exercices très efficaces pour ça. Et si ça ne suffit pas, je me débrouille pour trouver quelque chose de plus important ou de plus urgent dans leur vie, suffisamment pour déplacer momentanément le problème, le temps de laisser faire dame Nature.
Notre mental immature interfère donc négativement et maintient le problème plutôt que de le résoudre.
L’attitude la plus profitable est donc de porter un regard bienveillant sur son corps, d’en prendre soin, de l’aider tout en s’en détachant et de laisser faire… en lui faisant confiance. C’est un partenaire, pas un ennemi.
Conclusion
Toute guérison n’est jamais autre chose qu’une autoguérison et dépend de la compétence des cellules. Mais pour qu’elles puissent réparer, quatre conditions sont à remplir avant et dans un ordre précis : avoir son quota de sommeil, éviter les digestions pompeuses, supprimer toute forme de lutte et laisser faire.
Ces conditions s’expliquent par la priorité des fonctions qui, elle, résulte du fait que le corps fonctionne avec une réserve d’énergie et qu’il ne se recharge pas aussi vite qu’on le souhaiterait parfois. Pensez aux piles de votre appareil photo et combien on peste lorsqu’elles sont vides. L’organisme doit gérer cette énergie au plus juste sachant que certaines fonctions sont plus coûteuses et plus importantes que d’autres.
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